Prévention cancer : 14 additifs à éviter

Prévention cancer : 14 additifs à éviter

Prévention cancer : 14 additifs à éviter

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Écrit par Thierry Souccar Editions

Colorants, conservateurs, édulcorants, émulsifiants… de nombreux additifs sont présents dans nos aliments pour améliorer leur conservation ou leur présentation. Mais y a-t-il un risque pour le consommateur ? Les auteurs du Bon choix au supermarché ont listé 14 additifs soupçonnés d’être cancérigènes et pour lesquels le principe de précaution peut s’appliquer. Découvrez-les.

 

 Dans la liste d’ingrédients d’un aliment industriel se distinguent des codes bizarres à base de E suivi de 3 ou 4 chiffres. Il s’agit des additifs, des substances ajoutées intentionnellement aux aliments dans le but soit d’en améliorer la conservation, la couleur, l’aspect, soit de faciliter leur fabrication. Colorants, conservateurs, édulcorants… souvent de synthèse ces produits sont parfois soupçonnés d’induire des réactions allergiques mais aussi, de favoriser l’apparition, à terme, de cancers.

 

Avant d’être utilisés dans l’industrie agroalimentaire, les additifs font l’objets de tests toxicologiques qui permettent de dire dans quels produits ils peuvent être incorporés et à quelle dose. Le problème c’est que certains d’entre eux sont présents dans de nombreux produits, ce qui alourdit la dose journalière consommée. Par ailleurs, on ne connaît pas forcément les effets à long terme d’un mélange de ces substances chez l’homme.

 

Pour les 14 additifs présentés ici, les preuves scientifiques manquent pour dire sans conteste qu’ils sont cancérigènes. En revanche, pour chacun d’eux, il existe des études chez l’animal ayant montré une possible génotoxicité. Il existe donc un doute raisonnable quant à leur innocuité. Si vous souhaitez rester prudent et appliquer le principe de précaution, suivez le guide.

 

Le jaune de quinoléine

 

Nom de code : E 104
Fonction : colorant
Où le trouver : sodas, confiseries, confitures, boissons alcoolisées

 

Ce colorant est interdit aux États-Unis et en Australie, et pour cause : c’est un agent mutagène, ce qui signifie qu’il est potentiellement cancérogène. En 2004, des chercheurs polonais ont montré que le jaune de quinoléine peut être génotoxique.

 

L’acésulfame K

 

Nom de code : E 950
Fonction : édulcorant
Où le trouver : produits allégés, confiseries

 

Deux études menées sur des rats suggèrent que cet édulcorant pourrait augmenter le risque de cancer. Selon Lorenzo Tomatis, ancien directeur de l’Agence internationale contre le cancer, « il existe plusieurs sérieux défauts dans la conception et la conduite de ces tests… La seule conclusion que l’on peut en tirer est que l’acésulfame devrait être examiné d’une manière appropriée et fiable avant qu’une évaluation de sa cancérogénicité puisse être faite ».
Malgré cela, les scientifiques doutent toujours de l’innocuité de l’acésulfame K et conseillent, dans le doute, de ne pas trop en consommer.

 

L’aspartame

 

Nom de code : E 951
Fonction : édulcorant
Où le trouver : produits allégés, confiseries

 

Par précaution, évitez-le, même si les preuves formelles de son implication dans les problèmes de santé manquent. Pour le Pr Jean-François Narbonne, toxicologue, expert auprès de l’ANSES, « il faut éviter l’aspartame. C’est une invention de l’industrie agroalimentaire qui maintient les gens dans des comportements aberrants. L’aspartame ne présente aucun intérêt nutritionnel. C’est un édulcorant suspect. »

 

Lire la suite sur le site de Thierry Souccar.

 

 

 

 

 

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Les additifs alimentaires sont-ils dangereux pour la santé ?

Les additifs alimentaires sont-ils dangereux pour la santé ?

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Écrit par Futura Santé

On rencontre de nombreux additifs alimentaires dans notre quotidien, mais sont-ils dangereux pour notre santé ? Il existe 5 grandes familles aux usages différents. Certains additifs sont considérés comme potentiellement cancérigènes.

 

E500, E112 et bien d’autres… Vous ne comprenez pas la moitié des ingrédients inscrits sur les plats cuisinés ou les conserves ? Normal, il s’agit pour la plupart d’additifs alimentaires. Leurs fonctions sont multiples : rehausser le goût, allonger la conservation ou encore colorer les aliments. Les additifs alimentaires n’ont pas bonne réputation. Aucune étude ne prouve réellement leur nocivité mais il existe des additifs alimentaires dangereux.

Les grandes familles d’additifs alimentaires et leurs rôles

Il existe cinq grandes familles d’additifs alimentaires :

  • les colorants, ils permettent de donner une couleur attirante au produit (de E100 à E199) ;
  • les conservateurs (E200 à E299), ils sont indispensables car ils empêchent la prolifération des moisissures ;
  • les antioxydants (E300), ils empêchent les fruits de foncer ;
  • les agents de texture (E400), ils donnent son aspect à un produit ;
  • et enfin, les exhausteurs de goût (E600) qui intensifient le goût d’un produit.

    Certains additifs alimentaires sont dangereux, comme quelques colorants alimentaires qui deviennent cancérigènes à haute dose. © Virgile Vebrel, Flickr, CC by 2.0

    La nocivité des additifs alimentaires dangereux

    Les additifs alimentaires ne sont pas considérés comme dangereux, à condition de respecter un dosage quotidien. Autrement dit, évitez une surconsommation de plats cuisinés ou de conserves pour ne pas exposer votre organisme à trop d’additifs. Certains scientifiques craignent que des additifs mélangés entre eux ne soient cancérigènes, ce qui n’est pas décelable dans les études. Les additifs pourraient également causer des allergies, des retards de croissance chez l’enfant (pour le benzoate), des migraines (glutamate monosodique).

    Additifs alimentaires dangereux : prendre garde à certains colorants

    Certains colorants sont allergènes et cancérigènes. Voici une liste de colorants à éviter le plus possible : E102, E110, E123, E124, E127, E131, E142, E154, E160, E163, E154, E102, E110, E120, E123, E124, E125, E126, E120, E173 et E175.

    Pense-bête : Le chardon Marie, le sélénium et le charbon naturel neutralisent les méfaits des additifs alimentaires dans l’organisme

 

 

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Dioxyde de titane : l’additif E171 sera interdit

Dioxide de titane : l’additif E171 sera interdit

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Écrit par Reporterre

Le dioxyde de titane E171, utilisé comme un additif alimentaire, sera finalement interdit dès le 1er janvier 2020. Les ministères de l’Économie et de la Transition écologique ont indiqué mercredi 17 avril que l’arrêté qui suspend sa mise sur le marché a été signé et qu’il « sera publié dans les meilleurs délais ».

 

Ils ont indiqué avoir pris cette décision, par précaution, en se basant sur un avis publié lundi par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Les ministères de l’Économie, de la Santé, de l’Agriculture et de la Transition écologique avaient missionné l’Agence, en février dernier, pour analyser les dernières connaissances sur le sujet.

L’Anses a estimé que les nouvelles études sur la toxicité des nanoparticules de dioxyde de titane ne permettent pas de trancher sur son innocuité. L’Agence a souligné la nécessité de limiter l’exposition.

Déjà, un article avait été introduit dans la loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire (Egalim) pour suspendre la mise sur le marché de l’additif dioxyde de titane E171 ainsi que des denrées alimentaires en contenant.

Sur Twitter, l’association Agir pour l’environnement a regretté un tel délai d’un an avant l’interdiction.

APE@APEnvironnement

Le ministre de l’économie va interdire le dioxyde de titane dans l’alimentation… en 2020. ! Pourquoi un tel délais si ce n’est pour permettre aux industriels de la nanomalbouffe d’écouler les stocks ?

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Il est toutefois toujours possible d’utiliser du dioxyde de titane dans les cosmétiques, les dentifrices par exemple, et les médicaments, qui ne sont pas concernés par la loi alimentation.

 

 

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Les additifs alimentaire à éviter

Les additifs alimentaires à éviter

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Écrit par Marie Allard / La Presse + (Québec)

On consomme des additifs alimentaires – omniprésents dans les produits ultra-transformés – du matin au soir. Au petit-déjeuner, nos céréales contiennent de la lécithine de soja. Au dîner, nos tortillas sont agrémentées de pyrophosphate. Au souper, notre sauce sriracha renferme du sorbate de potassium, du bisulfite de sodium et de la gomme xanthique. Quels additifs vaut-il mieux éviter ?

  

Pour éviter les pains industriels, vous décidez de faire vos propres miches. Vous allez au supermarché acheter de la levure. Surprise : la levure contient du mystérieux « monostéarate de sorbitan ».

Une recherche dans le comparateur d’additifs alimentaires publié sur le site internet Que choisir, de l’Union fédérale des consommateurs (UFC) de France, vous ôte le goût du pain.

Bien qu’il aide les produits de boulangerie à prendre un joli volume, le monostéarate de sorbitan est un émulsifiant jugé « peu recommandable ». Des études réalisées sur des souris suggèrent que la consommation d’émulsifiants « pourrait occasionner une augmentation de la perméabilité de la barrière intestinale et favoriser ainsi les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, une adiposité accrue (syndrome métabolique) et le développement de diabètes », explique notamment l’association.

Plus de 300 additifs alimentaires sont autorisés en France. Du lot, 87 sont à éviter ou peu recommandables, selon un bilan dressé en octobre par l’UFC, après avoir passé en revue des études publiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), etc. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) procède d’ailleurs actuellement à « la réévaluation de tous les additifs alimentaires ayant été autorisés dans l’Union européenne avant le 20 janvier 2009 ».

450 ADDITIFS AU CANADA

Chez nous ? « Environ 450 additifs alimentaires différents sont autorisés au Canada », indique Geoffroy Legault-Thivierge, agent de relations avec les médias à Santé Canada. Ce nombre ne comprend pas les vitamines, les minéraux, les épices, ni même les composants des emballages des aliments.

Les additifs sont particulièrement nombreux dans les produits ultratransformés, puisqu’ils permettent de rehausser le goût, de créer des textures agréables et des couleurs attirantes, malgré l’utilisation d’ingrédients de base peu variés et bon marché.

« Il faut reconnaître que les Européens sont les plus stricts et, habituellement, les plus prompts à réglementer, note Sébastien Sauvé, professeur au département de chimie de l’Université de Montréal. Au Canada, ce serait l’Agence d’inspection des aliments (ACIA) qui serait interpellée – mais elle est certainement moins sévère qu’en Europe… »

L’évaluation du risque de l’effet cocktail – causé par l’accumulation de divers additifs – pose notamment problème.

Une seule pizza surgelée peut contenir plus de 30 additifs.

— Selon un rapport présenté en septembre par la Commission d’enquête sur l’alimentation industrielle, en France

Dans les yogourts aromatisés, l’industrie utilise des correcteurs d’acidité pour produire un goût homogène, des arômes pour que le goût dure jusqu’à la date de péremption et des texturants pour répartir également les morceaux de fruits, a expliqué Sarah Bourbié-Vaudaine, du groupe Danone, en audition devant cette Commission.

ÉVITER TOUT, SAUF LES CONSERVATEURS

Faut-il s’inquiéter de consommer ces multiples additifs ? Anne Charest, étudiante en nutrition à l’Université de Montréal, a analysé 28 articles scientifiques portant sur les effets sur la santé des quelques additifs alimentaires (émulsifiants, édulcorants, phosphates, colorants et nitrites), dans le cadre d’un minimémoire présenté en janvier. Elle a recensé des impacts potentiels sur le cancer, les maladies inflammatoires des intestins, le microbiote, le diabète de type 2, le poids, l’ostéoporose, les maladies rénales, etc. D’autres recherches sont évidemment nécessaires.

Comment trancher ? Jean-Claude Moubarac, professeur au département de nutrition de l’Université de Montréal, suggère de tolérer les additifs qui servent à la conservation et d’éviter les autres, qu’il qualifie de cosmétiques. « Pour connaître la fonction des additifs, on utilise le Codex Alimentarius de l’OMS », conseille-t-il.

Prenons l’exemple d’une boîte de conserve de lentilles de marque Compliments, qui contient du chlorure de calcium, de l’edta disodique et de l’acide citrique. Ces additifs peuvent avoir une fonction de conservation. « On ne considère pas ce produit comme ultratransformé, bien qu’à mon avis, il est préférable de choisir des légumineuses avec moins d’additifs », indique Jean-Claude Moubarac.

C’est souvent possible en choisissant la version biologique, puisque seuls 55 additifs alimentaires sont permis en production biologique au Canada.

« Malheureusement, il n’y a parfois pas de solutions de rechange. La crème 15 % ou 35 %, je n’arrive pas à en trouver sans émulsifiant. »

— Anne Charest, étudiante en nutrition à l’Université de Montréal

Suite de l’article sur La Presse

 

 

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60 millions de consommateurs alerte sur les dérives du bio

60 millions de consommateurs alerte sur les dérives du bio

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Écrit par Jean Blaquière / Le Figaro

Le magazine 60 millions de consommateurs a publié à l’été 2019 un hors-série consacré aux produits bio. Après avoir testé plus de 130 produits, le verdict est sans appel: tous les produits ne se valent pas, et le marché du bio pas cher est l’objet de nombreuses dérives.

60 millions de consommateurs alerte sur les dérives du bio

Il ne faut pas se fier à la couverture verte du magazine ainsi que son titre, «le meilleur du bio»: le principal enjeu du hors-série d’été de 60 millions de consommateurs publié ce mercredi est justement de déceler le pire des produits bio, ceux qui ne tiennent pas leurs promesses. Et ils sont nombreux.

Le magazine publié par l’Institut national de la consommation a passé en revue plus de 130 aliments bio de grande consommation, des yaourts aux jus de fruits en passant par les œufs et le jambon. Résultat: les seuls produits labellisés bio auxquels on peut réellement faire confiance sont les fruits et légumes, dont le magazine salue les progrès (même si tout n’est pas parfait), particulièrement en ce qui concerne les pommes et les bananes bio.

Main basse de l’industrie sur le bio

Pour le reste des produits alimentaires, c’est autre chose. Si le label bio est censé garantir un produit bon pour la santé et respectueux de l’environnement, il fait plus souvent figure d’argument marketing qu’autre chose. De surcroît, l’obtention du précieux label Agriculture Biologique (AB) entraîne généralement une augmentation du prix que la directrice en chef adjointe de la rédaction, Christelle Pangrazzi, déplore. En cause? Une démocratisation du bio qui entraîne une prise d’assaut de ce nouvel eldorado vert par les mastodontes de l’industrie agroalimentaire et de la grande distribution. Ces derniers verraient en l’essor du bio une manière de se racheter une conscience et d’augmenter leurs marges sans trop faire d’efforts, selon le magazine. Ainsi, la grande distribution commercialise désormais la moitié des produits bio.

De fait, les derniers chiffres publiés ce mardi par l’Agence Bio montrent que l’activité biologique couvre désormais en France 7,5% de la surface agricole utile du pays et que 10% des agriculteurs travaillent en bio. Les ventes, quant à elles, augmentent de plus de 10% par an alors que le reste du marché alimentaire est à la baisse. C’est encore plus flagrant dans la filière de l’élevage où l’an dernier les ventes en volume ont reculé de 2,9% mais bondi de 55% pour les élevages dits «responsables». Le marché du bio représente ainsi 5% des achats alimentaires des Français, avec plus de 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires.

ard au Jura, des kyrielles de cantines scolaires se remettent à la cuisine ! Qu’elles servent 80 couverts par jour à Langouet (Ille-et-Vilaine), 4.000 à Avignon ou 25.000 à Nice, elles lâchent toutes les plats industriels à réchauffer pour proposer plus de fait-maison et des produits de meilleure qualité.

Les pouvoirs publics poussent en ce sens : la loi adoptée en octobre 2018 astreint la restauration collective publique à servir au moins 50% de produits durables ou de labels de qualité, avec un minimum de 20% de produits bio, d’ici 2022. Mais ce sont surtout les parents qui se font entendre, lassés de voir leurs enfants rentrer de l’école le ventre quasi vide, après un déjeuner médiocre. «Nous nous sommes rendu compte que les aliments étaient gavés de conservateurs et de sucre, que les fonds de sauce étaient tous industriels…», tempête Anne Renaudie, à l’origine du collectif «Les enfants du 18 mangent ça», à Paris. En France, chaque année, des milliards sont dépensés pour nourrir 7 millions d’enfants… mais beaucoup partent à la poubelle : près de 25% des repas servis sont jetés, selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). 

Finis les plats tout préparés

Pour comprendre, il faut remonter aux années 1980, quand les collectivités ont commencé à massifier les productions de repas dans de grandes cuisines centrales, à multiplier les achats de plats industriels prêts à l’emploi ou à recourir à des sociétés de restauration collective privées… Souvent avec de bonnes raisons, tant la cantine scolaire est un casse-tête et une lourde responsabilité. «Face à des normes d’hygiène drastiques, beaucoup ont jugé plus prudent de s’appuyer sur des pros du secteur», explique la journaliste Sandra Franrenet dans Le Livre noir des cantines scolaires. Mais voilà, les papilles des enfants ne s’y retrouvent pas toujours, les recettes et quantités servies ne collent pas forcément aux besoins, le gaspillage s’envole… Nombre de collectivités font donc machine arrière et, surprise, cela ne leur coûte pas forcément plus cher. Voyez à Avignon, où la mairie a repris la gestion du service en direct et relancé le fait-maison. «Nous avons économisé de 500.000 à 600.000 euros par an, explique Hugues Fortuna, directeur de la cuisine centrale de la ville. Mais cela demande un gros travail de réinvention.»

Lire la suite de l’article sur Le Figaro 

Photo Stephane Grangier pour Capital. 

 

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Aliments ultra-transformés : pourquoi sont-ils mauvais pour notre santé ?

Aliments ultra-transformés : pourquoi sont-ils mauvais pour la santé ? 

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Écrit par Femme Actuelle

Une nouvelle étude pointe (encore !) du doigt les effets néfastes des aliments ultra-transformés sur la santé et le poids. Mais pourquoi sont-ils déconseillés et comment les reconnaître ? 

On le sait : les aliments ultra-transformés ont des effets délétères sur la santé. Mais dans quelle mesure ? Des chercheurs se sont penchés sur la question, pour les besoins d’une nouvelle étude publiée dans la revue Cell Metabolism.

 

Ils ont ainsi comparé un régime alimentaire basé sur des produits ultra-transformés à un régime sans produits ultra-transformés, et ont constaté que les personnes qui suivaient le premier régime mangeaient plus que les autres, et prenaient davantage de poids. Pourtant, les repas de chacun de ces régimes présentaient le même nombre de calories, de glucides et de lipides.

 

Pourquoi les produits ultra-transformés ont-ils un tel impact sur la santé et le poids ? Le Dr Anthony Fardet explique dans son livre Halte aux aliments ultra-transformés ! Mangeons vrai, les dangers sur le long terme que constituent ce type d’alimentation.

 

Pour le spécialiste, « il faut différencier les produits peu transformés, les produits normalement transformés et les produits ultra-transformés. Le poisson grillé, par exemple, est un produit peu transformé. Les sardines en boîte, pour leur part, sont un produit normalement transformé. Enfin, les nuggets de poisson, se présentant avec de la panure, sont des produits ultra-transformés ». Il ajoute notamment dans son ouvrage qu’un AUT est « un aliment dont on ne peut même pas reconnaître l’origine naturelle tellement sa matrice est modifiée ».

  

Aliments ultra-transformés : pourquoi posent-ils problème ?

 

Anthony Fardet explique que ce sont des aliments créés de toutes pièces par l’homme. Et pour lui, le fait de manger trop gras, trop sucré et trop salé n’est pas le fond du problème : « ce qui compte c’est non pas les nutriments contenus dans les aliments mais leur degré de transformation et le nombre d’additifs chimiques qu’ils contiennent ».

Prenez par exemple un cordon bleu, un aliment ultra-transformé « fait à base de viande reconstituée » qui contient pas moins d’une dizaine d’additifs. Ce sont des aliments très caloriques, ayant un index glycémique élevé, c’est-à-dire qu’il provoque un pic de glycémie dans le sang et ce sucre est ensuite stocké par le corps sous forme de graisse », explique le docteur Anthony Fardet. De plus, ces aliments sont pauvres en nutriments et n’apportent aucun minéraux, vitamines, fibres, phytonutriments à ceux qui les consomment.

 

Lire la suite de l’article sur Femme Actuelle 

 

 

 

 

 

 

 

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