L’UFC-Que Choisir alerte sur les dangers des produits à base de soja

L’UFC-Que Choisir alerte sur les dangers des produits à base de soja

L’UFC-Que Choisir alerte sur les dangers des produits à base de soja

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Écrit par Midi Libre / Reuters

L’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir a saisi en mai 2019 les autorités françaises sanitaires et de la concurrence après avoir constaté, dans des aliments à base de soja, la présence de teneurs élevées de phytoestrogènes, composés « suspectés » d’être des perturbateurs endocriniens.

L’UFC-Que Choisir, qui précise avoir mesuré les doses de phytoestrogènes dans 55 aliments courants à base de soja (plats préparés, boissons, etc…), indique avoir alerté à la fois l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) et la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

L’association, qui juge les teneurs en phytoestrogènes trouvées dans les produits testés « particulièrement préoccupantes » dans son test en laboratoire, demande à l’Anses de réévaluer le niveau de risque pour les consommateurs et, le cas échéant, de définir « des doses maximales d’application obligatoires ».

« Restrictions à la consommation »

La DGCCRF est quant à elle priée d’obliger les fabricants à faire figurer sur les étiquettes de leurs produits les teneurs en phytoestrogènes ainsi que des « restrictions à la consommation » pour les enfants et les femmes enceintes.

En attendant la réponse des autorités, l’UFC-Que Choisir recommande notamment aux consommateurs d' »éviter » de consommer « tout produit contenant du soja » pour les enfants de moins de trois ans et les femmes enceintes et, pour le reste de la population, de consommer au maximum un produit par jour à base de soja.

Selon l’UFC-Que Choisir, les phytoestrogènes – des substances produites naturellement par certaines plantes et proches des oestrogènes, hormones féminines – « pourraient être » des perturbateurs endocriniens, c’est-à-dire des agents chimiques capables d’interférer avec le système hormonal et susceptibles de favoriser certains cancers, voire d’agir sur le foetus ou la fertilité.

 

 

 

 

 

 

 

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Aliments ultra-transformés : pourquoi sont-ils mauvais pour notre santé ?

Aliments ultra-transformés : pourquoi sont-ils mauvais pour la santé ? 

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Écrit par Femme Actuelle

Une nouvelle étude pointe (encore !) du doigt les effets néfastes des aliments ultra-transformés sur la santé et le poids. Mais pourquoi sont-ils déconseillés et comment les reconnaître ? 

On le sait : les aliments ultra-transformés ont des effets délétères sur la santé. Mais dans quelle mesure ? Des chercheurs se sont penchés sur la question, pour les besoins d’une nouvelle étude publiée dans la revue Cell Metabolism.

 

Ils ont ainsi comparé un régime alimentaire basé sur des produits ultra-transformés à un régime sans produits ultra-transformés, et ont constaté que les personnes qui suivaient le premier régime mangeaient plus que les autres, et prenaient davantage de poids. Pourtant, les repas de chacun de ces régimes présentaient le même nombre de calories, de glucides et de lipides.

 

Pourquoi les produits ultra-transformés ont-ils un tel impact sur la santé et le poids ? Le Dr Anthony Fardet explique dans son livre Halte aux aliments ultra-transformés ! Mangeons vrai, les dangers sur le long terme que constituent ce type d’alimentation.

 

Pour le spécialiste, « il faut différencier les produits peu transformés, les produits normalement transformés et les produits ultra-transformés. Le poisson grillé, par exemple, est un produit peu transformé. Les sardines en boîte, pour leur part, sont un produit normalement transformé. Enfin, les nuggets de poisson, se présentant avec de la panure, sont des produits ultra-transformés ». Il ajoute notamment dans son ouvrage qu’un AUT est « un aliment dont on ne peut même pas reconnaître l’origine naturelle tellement sa matrice est modifiée ».

  

Aliments ultra-transformés : pourquoi posent-ils problème ?

 

Anthony Fardet explique que ce sont des aliments créés de toutes pièces par l’homme. Et pour lui, le fait de manger trop gras, trop sucré et trop salé n’est pas le fond du problème : « ce qui compte c’est non pas les nutriments contenus dans les aliments mais leur degré de transformation et le nombre d’additifs chimiques qu’ils contiennent ».

Prenez par exemple un cordon bleu, un aliment ultra-transformé « fait à base de viande reconstituée » qui contient pas moins d’une dizaine d’additifs. Ce sont des aliments très caloriques, ayant un index glycémique élevé, c’est-à-dire qu’il provoque un pic de glycémie dans le sang et ce sucre est ensuite stocké par le corps sous forme de graisse », explique le docteur Anthony Fardet. De plus, ces aliments sont pauvres en nutriments et n’apportent aucun minéraux, vitamines, fibres, phytonutriments à ceux qui les consomment.

 

Lire la suite de l’article sur Femme Actuelle 

 

 

 

 

 

 

 

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Quels sont les principaux produits ultra-transformés dans notre assiette ?

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Écrit par l'Observatoire des Aliments

Selon la classification NOVA, on peut classer les aliments en quatre groupes : aliments peu ou pas transformés, ingrédients culinaires, aliments transformés, aliments ultra-transformés. Ci-dessous, une liste indicative des principaux aliments ultra-transformés. 

Le caractère ultra-transformé est lié au procédé industriel (hydrogénation, hydrolyse, extrusion, prétraitement par friture) et/ou à l’ntégration de différentes substances : colorants, émulsifiants, texturants, édulcorants, additifs divers….  On parle d’ultra-transformé pour les formulations industrielles contenant cinq ingrédients ou plus.

 

La très haute teneur en sucres ou en sel peut également faire classer un produit en tant que ultra-transformé.  Les différents additifs et ingrédients industriels, tout comme le sel et le sucre, servent souvent à « booster » les qualités gustatives du produit.

 

Certains produits « industriels » sont simplement classés, compte tenu de leurs ingrédients, « aliments transformés ». Exemple, les compotes de fruits qui contiennent seulement du sucre ajouté, certaines viandes salées….

  

Risques associés 

Pourquoi se méfier des aliments ultra-transformés ? Parce que leur consommation est associée à des risques d’obésité, de maladies chroniques (diabète, cholestérol, maladies cardio-vasculaires….), voire de cancer. Selon l’Inserm, une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultra-transformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier.

  

Une liste indicative des principaux produits ultra-transformés

  

Biscuits apéritif, chips 

Soupes instantanées 

Sauces type ketchup 

Nouilles instantanées (jusqu’à une douzaine d’additifs)

Nuggets de volaille et de poisson, cordon bleu 

Viandes fumées, saucisses, jambon (contenant nitrites et conservateurs ajoutés) 

Plats cuisinés congelés

Pizzas, plats prêts à consommer (contenant des arômes et agents texturant) 

Poêlées industrielles de légumes

Pains et brioches industriels, pains de mie

Barres chocolatées 

Poudres chocolatées (parfois, entre 75 et 85% de sucre) 

Céréales du petit déjeuner 

Yaourts aux fruits : entre 6 et 12 additifs selon les marques 

Desserts aux fruits aromatisés (sucre ajouté, agents texturants, colorants…) 

Crèmes glacées 

Sodas, boissons sucrées aromatisées, jus de fruits reconstitués

  

Une liste d’ingrédients souvent présents

  

Huiles hydrogénées, 

Protéines hydrolysées, 

Isolats de protéines de soja, 

Maltodextrines,

Sucre inverti (mélange glucose – fructose obtenu par hydrolyse du saccharose), 

Lécithine de soja, 

Amidon de riz 

Edulcorants (aspartame, extraits de stévia, sucralose…) 

Sirop de glucose 

Nitrites

Colorants

 

Sources : inserm.fr

 

 

 

 

 

 

 

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Qu’est-ce qu’un aliment ultra-transformé ?

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Écrit par Marc Gomez / La Nutrition

Longtemps négligée par les nutritionnistes, la transformation des aliments par l’industrie agro-alimentaire joue un rôle certain dans l’épidémie de maladies chroniques.

Pourquoi c’est important

La notion d’aliment ultra-transformé ou AUT est récente. Elle a été popularisée par les chercheurs de l’université de Sao Paulo, au Brésil, et en France par le chercheur de l’INRA Anthony Fardet. Ils ont publié plusieurs études qui montrent que la nutrition, en se focalisant sur les graisses, les glucides ou les vitamines a négligé l’impact de la transformation des aliments. Ce qui peut être résumé ainsi : plus un aliment est transformé (industriel), plus il est susceptible d’avoir un effet néfaste sur la santé, surtout s’il est consommé fréquemment. 

Lire : 90% des sucres ajoutés viennent d’aliments ultra-transformés

Contrairement à ce qu’on croit spontanément, les AUT ne se résument pas aux aliments traditionnels de la malbouffe comme les sodas ou les frites. En réalité, les AUT représentent 80% de l’offre actuelle en supermarché, y compris dans les rayons diététique, bio ou « végétarien » (la plupart des steacks végétaux sont des AUT). Ces aliments représentent plus du tiers des aliments consommés par les Français. D’après les chercheurs, ils seraient la première cause de mortalité précoce dans les grandes villes.

La question des effets des aliments ultra-transformés est au coeur du livre du Dr Anthony Fardet, « Halte aux aliments ultra-transformés ! Mangeons Vrai. »

Mais comment définit-on un aliment ultra-transformé ? La classification NOVA, dont la version ci-dessous est simplifiée, permet de faire la différence entre des aliments selon leur degré de transformation.

Groupe 1 : Aliments non transformés ou peu transformés

Les aliments non transformés sont ceux obtenus directement à partir de plantes ou d’animaux (par exemple : légumes, fruits, œufs, lait) et achetés pour être consommés sans altération après avoir été prélevés dans la nature.

Les aliments peu transformés sont des aliments naturels qui ont été lavés, triés, fractionnés ou broyés, séchés, fermentés, pasteurisés, refroidis, congelés ou soumis à d’autres transformations sans ajout de substances à l’aliment original. Le but des transformations appliquées aux aliments peu transformés est de les conserver, et rendre leur stockage possible et parfois diminuer le temps de préparation (tri, nettoyage), faciliter leur digestion ou les rendre plus goûteux.

Lire la suite sur La Nutrition

 

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Les 107 produits « à bannir » de son alimentation et les 323 « à éviter »

« 60 millions de consommateurs » liste 10 aliments industriels à bannir

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Écrit par Raphaëlle Dormieu / PositivR

Au printemps 2018, 60 millions de consommateurs publiait un hors-série consacré aux sels, pesticides, additifs, matières grasses et sucres cachés dans notre alimentation quotidienne issue de l’industrie agroalimentaire.

Voici 10 aliments que le magazine vous conseille de proscrire sans plus attendre.

. la charcuterie

. les sodas light 

. les aliments végétariens transformés 

. les yaourts aux fruits

. les bouillons cube

. la cacao en poudre 

. les céréales du petit déjeuner ! 

. etc… Lire la liste entière et les explications sur PositivR

 

 

 

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Pas de plastique à la cantine !

Pas de plastique dans les assiettes à la cantine ! 

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Écrit par Gwenaëlle Guerlavais

Le Collectif Cantine sans plastique est né de parents d’élèves de différentes villes se mobilisant pour le retrait des matières plastiques dans les cantines de leurs enfants.

 

Cette association, présente partout en France (voir les antennes locales) s’occupe de la sensibilisation des pouvoirs publics aux problèmes sanitaires et environnementaux liés à cet usage.

 

Elle a pour objet toute action en faveur du retrait des matières plastiques et autres composés présentant un risque sanitaire et environnemental à la cantine.

 

Le Collectif Cantine Sans plastique peut dispenser à titre gracieux ou onéreux une expertise sur les domaines qui concernent la restauration collective, la santé environnementale, la gestion des déchets.

 

 Le Collectif Cantine sans plastique souhaite :
Éliminer l’usage des plastiques dans la cuisson, le réchauffage et le service des aliments dans la restauration scolaire.
• Remplacer les plastiques par des contenants inertes et réutilisables (inox, verre, céramique) ne posant pas de problème pour la santé des enfants. Nous les préférons aux contenants biodégradables (bambou, cellulose…) dont l’innocuité n’est pas prouvée et qui continuent de poser des problèmes de déchets.
• Redimensionner et relocaliser les cuisines centrales : Retirer les plastiques, favoriser des matériaux inertes et durables, défendre le modèle de cantines au plus près des enfants, c’est contribuer à créer des emplois qui favorisent le lien social et améliorent l’accueil des enfants à l’école.
• Faire de la restauration scolaire un service public de qualité, avec un environnement et une alimentation saine et durable pour tous les enfants et usagers.

 

Pour en savoir plus : voir leur site internet

 

Le Collectif Cantine Sans Plastique a également édité un livre que Ramène Ta Fraise vous recommande : « Pas de plastique dans nos assiettes ! Des perturbateurs endocriniens à la cantine. » 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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