Newsletter Avril 2021

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Par Ramène Ta Fraise

C’est le retour des fraises ! Gariguettes, Clery et Charlottes reviennent avec le printemps…

 La saison s’annonce et nous avons la patate !

Notre combat : le plaisir de manger bon et sain pour les bambins haut comme trois pommes, où qu’ils soient (maison, cantine, crèche, centre de loisirs, restaurants) et quel que soit le moment de la journée (petit-déjeuner, déjeuner, goûter, dîner).

Au programme de cette feuille de choux, nos dernières nouvelles fraîches !

  

| Dans le rétro

 

On a fait chou blanc à l’appel à projets de la Région Occitanie pour une alimentation durable.

Notre projet de webinaires éducatifs n’a pas récolté assez de votes citoyens. MAIS, c’était à quelques fraises ! Plus de 260 personnes ont cliqué pour nous. Un grand merci à tous ceux et celles qui nous ont manifesté leur soutien.

Et puis, on ne va pas pleurer comme des madeleines – c’est pas le genre de la maison – : on va, au contraire, accélérer sur le champignon et trouver le moyen de vous proposer ces webinaires à la rentrée 2021 !

On n’a pas compté pour du beurre !

L’association avait été auditionnée par le député Benjamin Griveaux dans le cadre d’une mission gouvernementale sur l’alimentation des enfants. Eh bien dans son rapport, remis en mars 2021 au 1er Ministre, le Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation et le Ministre de la Solidarité et de la Santé, le parlementaire a bel et bien picoré quelques unes de nos suggestions : développer l’éducation de l’alimentation à l’école, encadrement plus strict de la promotion des produits à faible valeur nutritionnelle à destination des enfants, programme plus soutenu et à long terme de la détection de l’obésité chez les enfants.

> En savoir plus sur cette audition

On n’a pas compté pour des prunes !

La présifraise et le Vice présifraise sont passés sur les ondes radios locales en février 2021, pour toujours plus ramener leur fraise, avec l’enregistrement d’une émission « Alimentation responsable » produite et animée par le Centre des jeunes dirigeants (CJD) de Montpellier. A écouter en boucle : écouter l’émission radio clapas, et un passage à la matinale de Radio Aviva.

 

| Yes We Fraise! A venir

 

20, 21, 22 mai 2021 –

La Chambre d’Agriculture nous a sollicité pour animer un stand de 25 m2 lors d’un marché des producteurs de trois jours sur l’Esplanade de Montpellier. On a cru tomber dans les pommes ! Et finalement, on s’est dit « Yes we fraise ! » Au menu (avec nos partenaires) : ateliers découvertes des sens pour les enfants, décryptage des étiquettes, vélo à smoothie, séance fun de « sport » parents-enfants, découverte de la fabrication de pâtes, des infos et recettes pratiques, potager urbain.

 

26 et 27 juin 2021 – Abracadabra, nous revoilà !

Le « festival pour enfants, même pas interdit aux parents » se déroulera au Domaine d’O à Montpellier. Toute l’équipe sera là pour des conseils, des dégustations, et notre recette magique de bonbons naturels qui s’étaient arrachés comme des petits pains !

  

| Le magazine Nine Ramène sa fraise

nineDésormais, tous les jeudis, retrouvez nos bons conseils (on vous réserve quelques surprises) sur le compte instagram du magazine.

A partir de cet été, on investit carrément la double page « recette » pour vous donner l’eau à la bouche avec des recettes faites par et pour les enfants, et testées par Ramène ta Fraise : simple, gourmande et saine !

 

 

| Arrière-cuisine

 

Voilà des actions qui ne se voient pas, mais qui nous permettent de mettre les pieds dans le plat

A la mairie de Montpellier : Ramène Ta Fraise a participé à deux réunions du comité de suivi de la restauration scolaire, le 8 mars et le 26 mars portant sur la création des nouvelles Unités de Production de la cuisine centrale de Montpellier. On a ramené notre fraise sur les contenants. A suivre…

 

Au CREPS de Montpellier : le CREPS de Montpellier nous a sollicité pour tester avec des parents et enfants de 8 à 15 ans, un jeu de l’oie qu’ils ont développé, pour apprendre les bons réflexes d’une alimentation équilibrée, le lien entre santé, bouger, manger ! On vous en dira plus bientôt…

 

A la Ligue Contre l’Obésité : Ramène ta Fraise intègre un groupe de travail national sur le lien entre les perturbateurs endocriniens et l’obésité/le surpoids (qui, pour rappel, touche un enfant sur six en France)

 

 | Il ramène sa fraise !

 

Erwan Lu, étudiant en 2ème année de Master de Sociologie de l’Université Montpellier 3, Paul Valery, rejoint l’équipe pour un stage de trois mois. Il souhaite orienter l’écriture de son mémoire de master sur la fracture alimentaire chez les enfants entre l’école et la famille. On va lui en mettre plein les papilles.

  

| Naissance d’une petite fraise

 

Bienvenue à Léa , nouvelle petite fraise de ce début d’année 2021. Félicitations à sa maman, Florence Molla, de la team « Ramène Ta Fraise »

  

| On n’a pas un radis

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| Ramène ta fraise en ligne

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Dans votre entourage, certains pensent que l’alimentation des enfants, ce sont leurs oignons ? Dites-leur d’aller sur notre site internet 😉  

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DES WEBINAIRES INSPIRANTS SUR L’ALIMENTATION DES ENFANTS ACCESSIBLES PARTOUT ET POUR TOUS ? VOTEZ RAMÈNE TA FRAISE…DANS TON ASSIETTE !

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Par Ramène Ta Fraise

Soucieuse d’amener dans chaque foyer, une bonne alimentation pour les enfants, Ramène Ta Fraise a déposé un projet de création de 5 webinaires mettant en lumière le lien alimentation-santé. 

Ainsi elle proposera, si son projet est retenu, des conférences en ligne avec un expert régional sur une thématique précise en lien avec l’alimentation des enfants :

  • Petit Déjeuner : pourquoi et comment sortir du classique « céréales – bol de lait au chocolat sucré » ? 

Experte envisagée : Magali Walkowicz, diététicienne-nutritionniste à Toulouse et auteure de P’tits Déj’ et goûters pauvres en sucres

  • Repas à la Cantine : osez demander de la qualité dans l’assiette de vos enfants ! 

Témoignages envisagés : le collectif de cuisiniers de cantine « les Pieds dans le Plat » et/ou parents qui ont fait changer les choses au sein de leur cantine, en lien avec la municipalité.

  • Goûter : un en-cas sain et nutritif grâce au fait maison, idées simples et rapides 

Experte envisagée : Camille Castel, diététicienne-nutritionniste à Montpellier, spécialisée en pédiatrie

  • Les repas à la maison : les 10 bons gestes à adopter pour une cuisine facile, saine, à portée de tous 

Experts envisagés : bloggeur / bloggeuse culinaire régional(e)

  • Manger au restaurant avec les enfants : et si on disait NON au classique nuggets-frites !? 

Expert envisagé : Guillaume Leclere, jeune chef montpelliérain qui propose une cuisine d’arrivage aux grands comme aux petits, chef cuisinier de restaurant traditionnel s’engageant pour des menus « demi-portions ».

 

Pour gagner, ce sont désormais les citoyens qui décident ! 

L’association a donc besoin de vos votes dès maintenant jusqu’au 15 février 2021

En cliquant sur le lien ci-dessous et en sélectionnant le projet Ramène ta Fraise (inscription obligatoire sur le site regioncitoyenne.fr: 2 minutes suffisent !)

Les webinaires de Ramène Ta Fraise s’adressent au grand public et en particulier aux adultes qui proposent des repas aux enfants (parents, grands-parents, responsables de centre aéré, restaurateurs, cuisiniers de cantine, etc.).

Il s’agit d’une mine d’informations et d’inspiration avec des recettes simples et saines duplicables à domicile.

  • Des sujets abordables, précis et argumentés
  • Un exposé pédagogique et pratique des enjeux par l’expert
  • La possibilité de poser des questions, en direct (interactivité)
  • Durée : 30 à 45 minutes selon les thématiques

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Céréales, boissons, biscuits… L’UFC-Que Choisir alerte sur le Nutri-Score d’aliments pour enfants

Céréales, boissons, biscuits… L’UFC-Que Choisir alerte sur le Nutri-Score d’aliments pour enfants

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L’association de consommateurs UFC-Que Choisir a passé au filtre du Nutri-Score une trentaine d’aliments et de boissons destinés aux enfants. Si celui-ci était affiché sur la plupart des produits, plus d’un parent hésiterait à les acheter…

Deux ans après son introduction, le Nutri-Score n’est présent que sur 5 % des produits. Et les céréales, boissons et biscuits préférés des enfants n’échappent pas à cette règle.

L’association UFC Que-Choisir a décidé de passer une trentaine d’aliments et boissons parmi les plus vendus au crible du Nutri-Score. Un seul des produits affichait déjà le barème. Pour les autres, dans leur très large majorité, le Nutri-Score démontre une mauvaise qualité nutritionnelle.

 

 

Ce logo à 5 couleurs n’est appliqué que sur les emballages de 5 000 produits. | NUTRI-SCORE

 

 

 

 

Devant ce manque de transparence, l’UFC Que-Choisir appelle d’ailleurs à signer la pétition d’initiative citoyenne qui réclame une généralisation du Nutri-Score.

 

Les céréales riment avec déplorables

Elles sont un incontournable des tables du petit-déjeuner. Pourtant, à lire les résultats de l’étude de l’UFC-Que Choisir, les céréales feraient mieux de rester au placard. Tout du moins pour les versions industrielles qui affichent, à la notable exception du Nesquik au blé complet (Nutri-score B, vert clair), des scores déplorables.

Ainsi, Chocapic et Lion de Nestlé ; et Coco Pops de Kellogg’s sont notées C. La majorité des produits du petit-déjeuner (biscuits pour petit déjeuner Prince de LU-Mondelez, céréales Frosties et Trésor de Kellogg’s) écope d’un D, comme un croissant au beurre. La palme revient aux BN p’tit déj avec un Nutri-Score E.

 

Le goûter, c’est… compliqué

Seul allié pour un goûter équilibré, la compote. Les St Mamet et Pom’potes affichent un Nutri-Score A. Une exception.

Ensuite, le Nutri-Score descend à D pour le gâteau Lulu l’ourson au chocolat, les biscuits Prince de Lu-Mondelez, le Savane au chocolat de Brossard, ainsi que les barres céréalières Chocapic et Nesquik de Nestlé.

Il tombe même à E, l’équivalent d’un brownie, pour les crêpes fourrées au chocolat Whaou, les barres Prince, les Dinosaurus de Lotus, les Pépitos pockitos au chocolat de Lu-Mondelez.

 

Des boissons aux fruits trop sucrées

Avec certaines boissons, il y a plus de fruits sur l’emballage que dans la bouteille… C’est le cas d’Oasis et de Capri-Sun qui sont classés E à cause de l’ajout de sucre, quand ces jus ne comptent que 12 % de jus d’orange ou d’agrumes.

Pour les autres boissons, cela tourne autour de D pour Fruit shoot tropical, Fruit shoot fruits rouges de Teisseire et Heroic Kids framboise cassis, toujours à cause d’une forte teneur en sucre. Seules les bouteilles de Vittel (Nestlé) destinées aux enfants décrochent un A. Forcément, c’est de l’eau…

Enfin, l’UFC-Que Choisir met à part les laits aromatisés. S’ils affichent un honorable B, les nutritionnistes les considèrent plutôt comme des aliments. Les donner comme boisson tiendrait alors du double emploi.

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Prévention cancer : 14 additifs à éviter

Prévention cancer : 14 additifs à éviter

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Écrit par Thierry Souccar Editions

Colorants, conservateurs, édulcorants, émulsifiants… de nombreux additifs sont présents dans nos aliments pour améliorer leur conservation ou leur présentation. Mais y a-t-il un risque pour le consommateur ? Les auteurs du Bon choix au supermarché ont listé 14 additifs soupçonnés d’être cancérigènes et pour lesquels le principe de précaution peut s’appliquer. Découvrez-les.

 

 Dans la liste d’ingrédients d’un aliment industriel se distinguent des codes bizarres à base de E suivi de 3 ou 4 chiffres. Il s’agit des additifs, des substances ajoutées intentionnellement aux aliments dans le but soit d’en améliorer la conservation, la couleur, l’aspect, soit de faciliter leur fabrication. Colorants, conservateurs, édulcorants… souvent de synthèse ces produits sont parfois soupçonnés d’induire des réactions allergiques mais aussi, de favoriser l’apparition, à terme, de cancers.

 

Avant d’être utilisés dans l’industrie agroalimentaire, les additifs font l’objets de tests toxicologiques qui permettent de dire dans quels produits ils peuvent être incorporés et à quelle dose. Le problème c’est que certains d’entre eux sont présents dans de nombreux produits, ce qui alourdit la dose journalière consommée. Par ailleurs, on ne connaît pas forcément les effets à long terme d’un mélange de ces substances chez l’homme.

 

Pour les 14 additifs présentés ici, les preuves scientifiques manquent pour dire sans conteste qu’ils sont cancérigènes. En revanche, pour chacun d’eux, il existe des études chez l’animal ayant montré une possible génotoxicité. Il existe donc un doute raisonnable quant à leur innocuité. Si vous souhaitez rester prudent et appliquer le principe de précaution, suivez le guide.

 

Le jaune de quinoléine

 

Nom de code : E 104
Fonction : colorant
Où le trouver : sodas, confiseries, confitures, boissons alcoolisées

 

Ce colorant est interdit aux États-Unis et en Australie, et pour cause : c’est un agent mutagène, ce qui signifie qu’il est potentiellement cancérogène. En 2004, des chercheurs polonais ont montré que le jaune de quinoléine peut être génotoxique.

 

L’acésulfame K

 

Nom de code : E 950
Fonction : édulcorant
Où le trouver : produits allégés, confiseries

 

Deux études menées sur des rats suggèrent que cet édulcorant pourrait augmenter le risque de cancer. Selon Lorenzo Tomatis, ancien directeur de l’Agence internationale contre le cancer, « il existe plusieurs sérieux défauts dans la conception et la conduite de ces tests… La seule conclusion que l’on peut en tirer est que l’acésulfame devrait être examiné d’une manière appropriée et fiable avant qu’une évaluation de sa cancérogénicité puisse être faite ».
Malgré cela, les scientifiques doutent toujours de l’innocuité de l’acésulfame K et conseillent, dans le doute, de ne pas trop en consommer.

 

L’aspartame

 

Nom de code : E 951
Fonction : édulcorant
Où le trouver : produits allégés, confiseries

 

Par précaution, évitez-le, même si les preuves formelles de son implication dans les problèmes de santé manquent. Pour le Pr Jean-François Narbonne, toxicologue, expert auprès de l’ANSES, « il faut éviter l’aspartame. C’est une invention de l’industrie agroalimentaire qui maintient les gens dans des comportements aberrants. L’aspartame ne présente aucun intérêt nutritionnel. C’est un édulcorant suspect. »

 

Lire la suite sur le site de Thierry Souccar.

 

 

 

 

 

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Les additifs alimentaires sont-ils dangereux pour la santé ?

Les additifs alimentaires sont-ils dangereux pour la santé ?

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Écrit par Futura Santé

On rencontre de nombreux additifs alimentaires dans notre quotidien, mais sont-ils dangereux pour notre santé ? Il existe 5 grandes familles aux usages différents. Certains additifs sont considérés comme potentiellement cancérigènes.

 

E500, E112 et bien d’autres… Vous ne comprenez pas la moitié des ingrédients inscrits sur les plats cuisinés ou les conserves ? Normal, il s’agit pour la plupart d’additifs alimentaires. Leurs fonctions sont multiples : rehausser le goût, allonger la conservation ou encore colorer les aliments. Les additifs alimentaires n’ont pas bonne réputation. Aucune étude ne prouve réellement leur nocivité mais il existe des additifs alimentaires dangereux.

Les grandes familles d’additifs alimentaires et leurs rôles

Il existe cinq grandes familles d’additifs alimentaires :

  • les colorants, ils permettent de donner une couleur attirante au produit (de E100 à E199) ;
  • les conservateurs (E200 à E299), ils sont indispensables car ils empêchent la prolifération des moisissures ;
  • les antioxydants (E300), ils empêchent les fruits de foncer ;
  • les agents de texture (E400), ils donnent son aspect à un produit ;
  • et enfin, les exhausteurs de goût (E600) qui intensifient le goût d’un produit.

    Certains additifs alimentaires sont dangereux, comme quelques colorants alimentaires qui deviennent cancérigènes à haute dose. © Virgile Vebrel, Flickr, CC by 2.0

    La nocivité des additifs alimentaires dangereux

    Les additifs alimentaires ne sont pas considérés comme dangereux, à condition de respecter un dosage quotidien. Autrement dit, évitez une surconsommation de plats cuisinés ou de conserves pour ne pas exposer votre organisme à trop d’additifs. Certains scientifiques craignent que des additifs mélangés entre eux ne soient cancérigènes, ce qui n’est pas décelable dans les études. Les additifs pourraient également causer des allergies, des retards de croissance chez l’enfant (pour le benzoate), des migraines (glutamate monosodique).

    Additifs alimentaires dangereux : prendre garde à certains colorants

    Certains colorants sont allergènes et cancérigènes. Voici une liste de colorants à éviter le plus possible : E102, E110, E123, E124, E127, E131, E142, E154, E160, E163, E154, E102, E110, E120, E123, E124, E125, E126, E120, E173 et E175.

    Pense-bête : Le chardon Marie, le sélénium et le charbon naturel neutralisent les méfaits des additifs alimentaires dans l’organisme

 

 

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Dioxyde de titane : l’additif E171 sera interdit

Dioxide de titane : l’additif E171 sera interdit

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Écrit par Reporterre

Le dioxyde de titane E171, utilisé comme un additif alimentaire, sera finalement interdit dès le 1er janvier 2020. Les ministères de l’Économie et de la Transition écologique ont indiqué mercredi 17 avril que l’arrêté qui suspend sa mise sur le marché a été signé et qu’il « sera publié dans les meilleurs délais ».

 

Ils ont indiqué avoir pris cette décision, par précaution, en se basant sur un avis publié lundi par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Les ministères de l’Économie, de la Santé, de l’Agriculture et de la Transition écologique avaient missionné l’Agence, en février dernier, pour analyser les dernières connaissances sur le sujet.

L’Anses a estimé que les nouvelles études sur la toxicité des nanoparticules de dioxyde de titane ne permettent pas de trancher sur son innocuité. L’Agence a souligné la nécessité de limiter l’exposition.

Déjà, un article avait été introduit dans la loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire (Egalim) pour suspendre la mise sur le marché de l’additif dioxyde de titane E171 ainsi que des denrées alimentaires en contenant.

Sur Twitter, l’association Agir pour l’environnement a regretté un tel délai d’un an avant l’interdiction.

APE@APEnvironnement

Le ministre de l’économie va interdire le dioxyde de titane dans l’alimentation… en 2020. ! Pourquoi un tel délais si ce n’est pour permettre aux industriels de la nanomalbouffe d’écouler les stocks ?

19 personnes parlent à ce sujet

Il est toutefois toujours possible d’utiliser du dioxyde de titane dans les cosmétiques, les dentifrices par exemple, et les médicaments, qui ne sont pas concernés par la loi alimentation.

 

 

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